Alors que le monde entier fait face à la pandémie du coronavirus, pandémie qui ne cesse de créer des malheurs dans notre univers.
A date, elle a déjà fait plus de vingt mille morts et un peu plus de quarante quatre mille infectés.
L’Afrique n’a malheureusement pas été épargné avec l’Egypte se taille la part du lion.
Le pays des pharaons enregistre déjà près de vingt six (26) morts. Au Cameroun, malgré les mesures préventives prises par le gouvernement, le covid19 a tout de même franchi ces barrières. Soixante quinze (75) cas infectés ont déjà été détectés dont deux (02) cas guéris et un (01) mort au passage.
Décès survenu le 24 mars 2020.
Malgré ces chiffres inquiètants, certains internautes Camerounais continuent d’animer la galerie sur les réseaux sociaux. Certains étant bien connus du grand public.
C’est le cas du comédien Edoudouard, qui dans une vidéo comique met en scène un prélat qui s’offusque du faite que les messes soient suspendues.
Le plus attractif dans cette vidéo étant le nerf de la guerre: L’argent.
Il nous laisse comprendre que messe sans quête ne vaut pas la peine.
Dans une autre vidéo, on peut clairement voir une autre internaute qui se met en scène. Cette dernière est très remontée contre le coronavirus, lui demandant de nous dire la vérité : “Coronavirus tu nous as déjà fait laver les mains fatigué,tu nous as fait boire le ndjindja[…]ne nous fait pas laver les mains alors que tu sais qu’on va mourir…” Peut on entendre dans cette vidéo.
Les Camerounais de la diaspora ne sont pas en reste dans ce champ de comédie. L’une d’entre elles se met en évidence dans une langue bien connue des Camerounais : (Le pidgin). “No comote outside. Coronavirus kill all people. No comote outside today, tommorrow ni after tomorrow mi, my home je suis à la maison”.
D’autres images encore présentent des caches nez de toutes sortes faites à partir des tissus de tout genre, des feuilles de bananiers et autres. Tout y passe.
La bonne et la mauvaise information. Une chose est vraie, le virus du covid19 est bel et bien réel dans nos murs. Arrêter la propagation du coronavirus reste une affaire de tous.
Élie Nlend au Cameroun