Au Cameroun, le taux moyen d’accès à l’eau potable est de 45% en milieu rural, selon l’Institut national de la statistique.
Par Boris Ngounou
C’est l’une des pénuries en eau potable les plus basses d’Afrique subaérienne.
Un phénomène qui rend davantage la vie difficile pour les populations villageoises.
Dépourvues d’une eau accessible en qualité et en quantité, ces populations sont plus vulnérables aux effets du changement climatique, elles sont également plus exposées aux maladies hydrique telles que le choléra, et même à la propagation du Coronavirus.
Pour atténuer les conséquences du manque d’eau potable dans le Village Ongot, situé à 35 Kilomètres de la ville de Yaoundé au Cameroun, l’Association pour l’égalité et le bien-être (ASEBE) y a mené une vaste campagne de sensibilisation sur les bonnes pratiques en matière d’hygiène et de salubrité.
Une campagne intitulée « Share a smile » en françai « partage un sourire ».
Tenue du 23 au 24 mars dernier celle-ci s’inscrivait dans le cadre des activités marquant la célébration de l’édition 2021 de la journée mondiale de l’eau.
Dans cette autre production du magazine Environnementales, l’identification et l’analyse des problèmes d’eau rencontrés par les populations d’Ongot, et les solutions ou les mesures d’accompagnement proposées par l’ASEBE, une association qui milite également pour la protection de l’environnement.